[FIC] World War M.

TONY STARK - Personne dans notre pays, dans notre monde ou même plus loin dans les galaxies inconnu et connu de notre humanité, personne ne voulait le voir dans ce cercueil. Moi le premier... Je veux parler pour tous ceux qui ont connu Steve Rogers. Je parle de l'homme, non pas l'homme dans le costume de Captain America. Ceux qui connaissait cet homme aux cheveux blonds, les yeux rêveurs, toujours prêt à secourir ceux qui en ont besoin. Pour tous ces gens-là Steve était plus que Cap', plus qu'un coéquipier, plus encore qu'un frère car il a toujours veillé sur nous, sur les Vengeurs, comme sur les membres qui formait les équipes dont il était membre. Au nom de ces gens-là, je souhaite que tu reposes en paix Steve... Car tu sais que tu étais plus qu'un héros pour nous tous, tu étais ... Captain America.

Le dirigeant de Stark Industries ainsi que du S.H.I.E.L.D partit de l'estrade sur laquelle était posé le pupitre, pour rejoindre la foule. Cette foule si calme, c'était comme si une vague de tristesse avait submergé cette assemblée de plusieurs milliers de personne qui se tenaient devant la statue du célèbre Captain America, son cercueil recouvert du drapeau au 52 étoiles était posé devant l'estrade où les amis et coéquipier de Steve se relayaient tour à tour pour exprimer, une dernière fois, leur sentiment envers le héros américain. Tony Stark avait clos les discours et les porteurs s'apprêtait à aller déposé le cercueil au fond du trou prévue à cet effet. Mais, sortant des arbres du parc dans lequel avait lieu l'enterrement, un homme en costume noir sortit de l'ombre tissant une toile sur la statue pour venir se tenir devant l'assemblé sur l'estrade. Les personnes avaient pu reconnaître Spider-Man, dans un tout nouveau costume noir.

PETER PARKER - J'estime avoir aussi mon mot à dire pour Cap'.

Tony Stark regarda les gardes du S.H.I.E.L.D qui allait sauter sur l'homme araignée mais, le directeur mis vite fin à cette attaque.

TONY STARK - Laissez-le ! C'est un ordre...

Les gardes se rétractèrent et Spidey regarda à travers son costume Tony Stark qui hocha la tête, signifiant qu'il aurait le droit de s'exprimer.

PETER PARKER - Captain America était pour moi, un exemple, c'était pour moi et je pense pour toutes les personnes présentes ici, l'exemple. Il n'a jamais eu de moment où Cap avait eu un soupçon de souciance quand il parlait de moi. Et pourtant je ne pensais pas le valoir. Il a été plus qu'un guide pour tous les supers-héros de notre époque et de celle antérieur. Cet homme était immortel, n'ayant aucun moyen de mourir et pourtant, comme pour mon oncle, c'est un homme sans aucune âme qui est venu le fusiller. Je ne pense pas qu'on se souviendra de Captain America pour sa mort, mais, sûrement pour tous les accomplissements qu'il a fait au fil des années. Tu me manqueras Cap', à moi et à beaucoup d'autre...

Peter se tourna vers la statue et partit d'un saut tissant une toile au loin. Tony Stark le regarda, une larme coulait le long de son visage...

Cela faisait maintenant deux semaines que Steve Rogers avait été enterré. Plus aucun super-vilain n'osaient sortir à présent étant donné que les super-équipes d'élite par état avaient été mis en place. L'agitation régnait dans les rues cette après-midi. Et Tony Stark, du haut de sa tour qui surplomber toute la Big Apple, observé les gens vaqué à leur occupation, comme si tout était redevenu normal. Certes, c'était un peu le cas, à la seule condition que personne ne se poursuivait dans les rues pour faire signer tel ou tel loi. Tony était dans son salon et contemplait donc New-York. Après un certain moment, son garde du corps mais, surtout ami, Happy Hogan, entra dans la pièce et observa son patron calme, penseur même, qui regardait vers l'horizon. Le garde du corps s'approcha donc pour que le milliardaire puisse l'entendre.

HAPPY HOGAN - Tony... Il y a ton invité qui est arrivé...

TONY STARK - Oh, je ne t'avais pas vu Happy, désolé, fait le donc entrée.

Happy partit alors par l’ascenseur tandis que Tony se releva pour venir accueillir l'homme qu'il avait demandé à voir. Soudain, l’ascenseur s'ouvrit et l'on put reconnaître Logan, le Wolverine, apparaître et se dirigeait vers son ancien patron.

LOGAN - Tu as demandé à me voir, je suis là alors fait vite car je n'aime pas trop ce building...

TONY STARK - Merci d'être venu Logan, je ne savais pas si tu réussiras à avoir mon message. Bon et bien, tout d'abord sache que je ne vais pas te parler de la loi...

LOGAN - Bien heureusement Tony. Tu... tu as vu ce qu'elle à fait cette loi, ce qu'elle à produit, Cap' ne serait certainement...

TONY STARK - Pas où il est sans la loi ! Merci je sais très bien LES RÉPERCUTIONS DE CETTE PUTAIN DE LOI ! Je t'ai demandé de venir ici car j'ai un service à te demander. Le genre de service que tu ne peux pas refuser.

LOGAN - Si c'est une reformation des Vengeurs que tu veux, tu peux bien aller te faire...

TONY STARK - Il n'a jamais était question de ça. Peter est venu à l'enterrement de Cap', et il a eu un discours émouvant et sincère. Tu sais tout comme moi qu'il aimait Steve, comme un père. Écoute Logan, j'aimerai que tu protège Peter. Mais, pas seulement en tant que Peter Parker, aussi en tant que Spider-Man. Il a besoin de ça...

LOGAN - Tu penses qu'il a besoin de ça, il n'en a pas plus besoin que toi ou moi. Peter est grand, il sera faire face, je le ferais si tu y tiens, mais, sache que ce sera le seul service que je te rendrais.

TONY STARK - Quant aux autres...

LOGAN - Les autres ? Quelles autres ?

TONY STARK - Les réfugiés, Spider-Woman, Iron Fist, Toi... Vous pourrez rejoindre nos rangs quand vous le voudrez, le président pour donne l'amnistie.

LOGAN - C'est toujours bon à savoir, mais, si on s’est séparé des autres, ce n’est pas pour rien Tony. Sur ce.

La bête s'en alla laissant Tony seul. Il voulait plus que tout savoir Peter protégé car, il savait que ce dernier en aurait besoin.

Les jours passèrent et les activités de super-héros se multiplièrent, braquage, vol ou autre violence de rue. Spider-Man quant à lui avait repris une partie de ses esprits, et continuer de lutter contre le mal, en cachette. Le soir était tombé sur New-York, les lumières des buildings suffisaient a éclairé la ville. Spidey faisait, comme à son habitude depuis la fin de la Civil War, le tour de la ville, recherchant le crime où qu'il soit. C'est au détour d'une rue qu'il entendit un cri étouffé. Il tissa une toile pour venir monter en haut d'un des deux bâtiments formant la rue et il put regarder en bas, voir ce qui se passer. Il y aperçu un de ces anciens ennemis, Vautour. Ce dernier avait l'air de menacer un homme en veste de cuir qui avait des lunettes et paraissait effrayé. Spidey n'hésita pas plus, sautant dans le vide et attaqua verticalement le Vautour. Ce dernier réagit et esquiva le coup de son adversaire avant de venir lui en assigner un dans les côtes suivies d'un autre dans l'arcade. Peter tomba raid au sol. Vautour se pencha sur lui près à venir l'achevé quand, soudain, un homme bondit sur l'ennemi de l'homme araignée. Peter eut le temps de se relever pour voir Wolverine. Logan était bien présent et commencé à enchaîner les coups de griffe sur son ascendant. Ce dernier activa alors sa ceinture qui enclencha un chant de protection. Ce dernier fît voler Logan et Vautour eut le temps de décoller, difficilement dans les airs, avant de partir. Peter regarda alors son sauveur.

PETER PARKER - Une chance que tu sois passé par là, merci Logan.

LOGAN - Une chance en effet...

Encore une fois, Peter c'était levé à cause d'un cauchemar, toujours le même, la mort de Steve Rogers, Captain America, de ses propres mains. Il avait, cette fois-ci décidé de partir dans New-York pour s'évader, oublier se mauvais rêve et penser à autre chose. Il regarda sur son micro-onde l'heure qui affichait 4:03. Il sortit alors par la fenêtre et s'élança dans le vide pour aller se percher sur un immeuble d'assez haute altitude. Il contempla la Big Apple, lumineuse comme un sapin de Noël, devant ses yeux. Il pensait à MJ ainsi que tante May, qu'il n'avait pas revue depuis la fin de la Civil War. Il s'imagina même un moment quitter New-York s'installer en Italie ou en France, au calme, loin des USA et de leur agitation. Et ses pouvoirs, ne plus les avoir, ne serait-ce pas la solution ? Il se secoua la tête pour reprendre ses esprits quand une voie l'interpella derrière lui.

??? - Tu ne m'a pas l'air d'avoir beaucoup dormi.

PETER PARKER - C'est exacte Octo, tu t'es décidé de pencher du bon côté ?

Le docteur Octopus était en effet derrière l'homme araignée mais, il ne planait dans l'air qu'un sentiment de calme, aucune attaque n'était prévu.

DOCTEUR OCTOPUS - On peut dire ça comme ça. Les Thunderbolts de New-York sont là pour proteger, pas forcement du mal. Mais, je ne pensais vraiment pas te voir ici. Tu sais Peter... si je peut t'appeller comme ça, quand j'ai aperçu ton visage à la télévision, le jour de ta révélation. Je me suis dit que je n'était vraiment pas de taille, face à un gamin, mais, ce gamin avait un but et moi, je ne savais pas quoi faire de cette invention, si révolutionnaire.

PETER PARKER - Je ne vois pas trop où tu veut en venir Octo...

DOCTEUR OCTOPUS - Tout ça pour te dire, que tu as un don. Je ne parle pas de tes pouvoirs, ton don est à l'interieur de toi, cette conviction que tu as toujours eut. C'est sûrement pour ça que je n'ai jamais réussi à te tuer. Enfin bref, Zemo va me chercher. Fait attention à toi l'araignée, on ne sait jamais, quand les rébellions ont lieu...

PETER PARKER - Essayez donc...

Octo partit tandis que Peter s'engagea dans les rues de New-York tisant plusieurs toile sans vraiment savoir quelle direction prendre.

Une fois midi sonna, Peter qui avait rejoint son appartement, se décida à partir vers la Planque, nouveau QG des Réfugiés, où une partie de carte avait lieu et à laquelle il répondait le plus souvent présent. Il passa par Times Square, tissant des toiles sous les crie des passant, demandant à Peter de rejoindre l'équipe d'Elite de New-York. Peter essayait de faire abstraction des différents cries quand soudain, une de ses toile fût brisser par un éclair jaillissant d'une des rues de Times Square. Peter perdit pied et tomba lourdement sur un taxi. Toutes les personnes partirent dans différentes directions laissant un espace pour Peter et l'homme qui s'approcher de lui.

??? - On arrive plus à se relever Peter ?

PETER PARKER - El... ELECTRO !

ELECTRO - Surpris ? Moi pas M.Parker. Vous savez combien de temps j'ai attendu ce moment, tu es à ma porté maintenant !

Electro lança un nouvel éclair que Peter esquiva d'un bon lança dans la même occasion, deux toiles sur son ennemi qui les détruit en un instant grâce des des éclairs qui se faisait de plus en plus puissant. Spidey savait que le combat lointain avec Electro ne servait à rien, il devait absolument se rapprocher. Il entreprit alors une combinaison : il lança une rafale de toile sur l'homme électrique et suiva la trajectoire de ses toiles pour venir placer un bon coup de poing dans l'arcade de son vis-à-vis. Electro tomba à la renverse et Peter pu le ligoter et l'enchaîner avec ses toiles. Le travail était, semble-t-il, finit, quand Electro effectua une déflagration de tonnerre qui le détacha et envoya l'homme araignée valser dix mètres plus loin. La police arriva et Peter entendit un agent dire que l'équipe d'élite arrivera dans 2 minutes montre en main. Il n'avait plus qu'a attendre les renforts mais, encore fallait-il tenir. Electro était plus puissant et il le démontra avec plusieurs décharge qui manquèrent de peu de toucher Spidey. Peter semblait condamner quand un éclair lui arrive en plein sur sa tête, mais, un bras mécanique vînt se mettre en travers la route de la décharge. Octopus était arrivé plus tôt.

DOCTEUR OCTOPUS - Va-t-en Peter, c'est un ordre, dégage de là !

Peter était fixer, sur l'homme qu'il avait combattu pendant tant d'année, ce dernier venait de le sauver. Peter était assis sur le sol tandis qu'Electro commença à s'énerver. Il commença à charger un rayon, Octopus pensa à un moment parfait pour venir le plaquer au sol, mais, Electro avait réussi son coup. Il arrêta son chargement quand Doc' Oc' était à sa porté et lança une décharge qui vînt transpercer l'ancien ennemi de Spider-Man.

PETER PARKER - NON ! ! ! !

Octopus tomba au sol, le regard vide vers son ennemi de toujours. Peter se mis à genoux, les larmes coulant à flot sur son visage ternis par la mort, devant lui, d'un homme qui c'était sacrifier. Les Thunderbolts arrivèrent alors pour essayer de contrôler Electro qui prit la fuite tandis que Wolverine sortit de l'ombre, attrapa Peter et sauta dans une bouche d'égouts qu'il avait ouvert au par avant. Octopus était encore sur le sol, mort pour son ennemi, sa raison de se battre à lui...